26/05 

Nous consacrons la journée à arpenter Wellington sous un grand soleil. Nous avons bien aimé cette ville, à échelle humaine, au bord de l’eau et assez dynamique.

Les quais de la baie de Wellington

Après une douche à la piscine municipale (fort bienvenue pour certain car la précédente datait de 2-3 jours), nous allons flâner dans le quartier de l’Old St Paul Cathedral, ainsi que du parlement. Nous apprenons à l’occasion que le droit de vote a été accordé aux femmes il y a 125 ans en Nouvelle Zélande, et que, pendant la deuxième guerre mondiale, les marines américains stationnés en Nouvelle-Zélande avaient souvent une famille d’accueil kiwi.

Old Saint Paul Cathedral

Nous mangeons asiatique (chinois en l’occurrence) le midi, pour des retrouvailles bienvenues avec le riz, dont nous n’avons pas mangé un seul grain depuis notre arrivée en terre kiwi. Après le déjeuner, MC fait les soldes et Minh finit par l’emmener chasser le Hobbit sur les pentes du mont Victoria pour l’arrêter. Nous n’avons trouvé aucun hobbit malgré notre passage sur un des sites de tournage du premier film. Par contre, nous avons trouvé une fort jolie vue sur la ville.

Wellington vue d’en haut

En fin d’après midi, nous visitons le musée Te Papa. La fermeture approchant, nous nous contentons des salles consacrées à l’habitat, l’art, l’artisanat maori et la rencontre maori/blancs lors de la colonisation, ainsi qu’à l’intégration des différents peuples du Pacifique dans la société néo-zélandaise contemporaine. Très intéressant.

Après avoir refait l’ascension du mont Victoria pour admirer Wellington by night (en van cette fois) et dégusté un repas vietnamien savoureux (cuisine de Hanoi assez fine), nous nous rendons au cinéma ! L’Embassy theater, qui comporte le plus grand écran de l’hémisphère sud et où ont été diffusées les premières du Seigneur des Anneaux et du Hobbit, notamment. Salle somptueuse en effet, ambiance conviviale dans la salle et film pas si pire que ça. Le film ? Avengers Infinity War, sorti la veille, inratable pour Minh.

Wellington by night !

27/04 

Après une dernière nuit sur le parking, nous voici en route pour le Tongariro National Park, pour une randonnée emblématique de l’île du nord, le Tongariro alpine crossing, prévue pour le lendemain. Au programme, roches volcaniques, lac de cratère et scènes de tournage du Retour du Roi. Ou pas.  En effet, dame météo en a décidé autrement. Rebutés par les rafales de vent à 50 km/h en bas de la randonnée et le plafond nuageux augurant d’une visibilité réduite, nous passons notre tour. Nous avons par contre visité le musée du Rugby sur le chemin. Visite très sympa, avec un gardien de musée chaleureux et passionné ! Une bonne occasion pour nous d’apprendre plein de choses sur l’histoire de ce sport, qui est intimement liée à l’histoire du pays, ses rapports avec le Royaume Uni, les deux guerres mondiales et la question raciale (l’Afrique du Sud est ici un pays voisin, et les règles de l’apartheid ont donné lieu à bien des crispations en Nouvelle-Zélande, quand les joueurs d’origine maorie étaient refusés sur le territoire sud-africain. Le musée comportait aussi des ateliers pratiques pour tester ses compétences en placage, poussée, détente etc. Ludique.

28-29/04 

Devant l’impossibilité de faire la randonnée que nous voulions faire, et devant un ciel menaçant, nous nous tournons vers une journée d’activités en intérieur. Nous visitons donc le parc ornithologique d’Otorohanga, et surtout sa Kiwi House. C’est un des rares endroits où l’on peut observer des kiwis vivants en captivité, et ils ont également une nursery où ils élèvent des kiwis en vue de repeupler l’habitat naturel.

Un point sur cet animal fascinant ? Il faut savoir que la Nouvelle Zélande s’est détachée des autres continents au gré de la tectonique des plaques avant l’apparition des mammifères, et que sa faune et sa flore ont évolué isolément pour leur propre compte. Notamment, la niche écologique  occupée par les mammifères a été occupée par des oiseaux, d’où le grand nombre d’espèces endémiques. Par ailleurs, il n’y avait pas de prédateurs terrestres avant l’arrivée de l’homme (pas de rats, de chiens, de furets, d’oppossums… pas de mammifères, on vous dit. Non, pas de chats non plus). D’où le grand nombre d’espèces d’oiseaux ne volant pas.

Pour en revenir au kiwi, il s’agit d’un oiseau d’assez grande taille, incapable de voler, nocturne. Il possède plusieurs caractéristiques atypique pour un oiseau : ses plumes sont semblables à des poils, ses os sont remplis de moelle osseuse, ses narines sont situées à l’extrémité de son bec (et non la base comme les autres oiseaux) et il possède des moustaches comme un chat, pour pallier à sa vue quasi déficiente. Sa démarche est un peu lourde mais il peut courir très vite. Pour finir, il ne construit pas de nid mais creuse des terriers.

L’espèce est menacée depuis l’arrivée de l’homme par les prédateurs introduits (des mammifères, ainsi que le bétail qui menace l’habitat) et la destruction de l’habitat.

Cet animal est étrangement attachant, et emblématique de la NZ. Nous sommes ravis d’en avoir vu ! Comme les salles où on peut les observer sont des reconstitutions d’une nuit de pleine lune, pas de photos…

Après cela, nous visitons la grotte de Waitomo. Elle possède de jolies concrétions calcaires (dont nous n’avons vu qu’une partie car la météo, notamment l’absence de vent, a entraîné une surcharge en CO2 de certaines salles), une rivière souterraine et surtout une colonie de vers luisants qui transforme la petite balade en bateau dans le noir en véritable enchantement avec une voûte ressemblant à un ciel étoilé. Belle visite, mais pas de photos, car les appareils sont interdits dans la grotte.

Nous nous rendons ensuite à Rotorua, sous une pluie battante par un vent à décorner les bœufs. La nuit se passe bien, malgré quelques infiltrations d’eau par les fenêtres du van. Mais la pluie tombe sans discontinuer, et le lendemain, les routes sont inondées. Des rideaux de pluie s’abattent sur le pare-brise, et nous renonçons à faire quoi que ce soit. La journée sera consacrée au farniente dans le van. Notre seule sortie sera pour profiter (toujours sous une pluie battante !) des sources d’eau chaude du camping (quand même, on n’allait pas rater ça !).

Pas très praticable

Un peu humide !

30/04

Après cette journée perdue, heureusement, le temps s’améliore et la pluie s’arrête. Le soleil brille, bref, tout va bien. Nous visitons Te Puia, un site qui allie un village maori reconstitué, avec démonstration des différents modes d’artisanat, une Kiwi house, et un site géothermique. C’est quand même pour cela qu’on est à Rotorua, qui est située dans un cratère volcanique et la région regorge de sources chaudes, mares de boue bouillonnante, fumerolles et odeurs de souffre. A Te Puia, il y a notamment le geyser Otopohuno, un vrai beau geyser qui entre naturellement en éruption à peu près toutes les heures. Pendant 20 minutes. Canon.

A noter que le geyser avait faibli il y a quelques années car un forage géothermique (pour récupérer la vapeur et chauffer les maisons) avait atterri dans sa cheminée et diminué la pression. Depuis l’obturation de ce forage, tout va bien, le geyser a retrouvé la forme.

Un site assez commercial, mais somme toute assez instructif, et ludique.

Nous faisons ensuite une balade vers les Okere falls, le long d’une rivière mignonne qui comporte le plus haut rapide navigable en kayak de NZ, avec une chute (assez impressionnante) de 7m.

Malheureusement, aucun kayak sympa n’a daigné se lancer pour que nous puissions voir ce que cela donne en vrai. Le soir, nous dormons près de la côte à Whakatane car nous projettons une sortie en bateau dans la Bay of Plenty, pour aller voir White Island, un île volcanique.

01/05 

Mais le lendemain, premier mai (qui n’est pas particulièrement férié ici) le vent est de la partie ! Il fait beau, mais la sortie en mer pour aller sur l’île est ajournée. De 3 jours.

Fort déçus de cet acharnement météorologique, nous nous consolons avec une longue rando qui fait une boucle le long du littoral (superbe) avec traversée de la plage à marée basse et multitudes de coquillages afin d’atteindre Kohi Point, retour dans les champs, puis une boisson en terrasse.

Nous nous offrons surtout un long moment dans les eaux chaudes de Tauranga (de l’eau de mer chauffée au contact de conduites géothermiques, pour être précis), la ville voisine, au coucher du soleil, avec vue sur la colline que nous prévoyons de gravir le lendemain. Recrus de fatigue après nos kilomètres à pattes et l’eau chaude, nous dormons comme des loirs.

02/05 :

Nous gravissons le Mont Manganui. C’est plus une colline q’une montagne, volcanique d’origine, mais il offre une belle vue sur la Bay of Plenty et nous permet de nous décrasser des courbatures de la veille !

Puis nous prenons la route en direction de la péninsule de Coromandel.

Nous baladons longuement dans la zone de Karangake, un ancien site d’exploitation minière situé dans les gorges d’une petite rivière aux eaux lipides. Outre la beauté du site naturel, nous profitons de l’excellent état de conservation (et de restauration) du site minier pour parcourir les tunnels et voies de train en s’amusant comme des enfants.

A nous la fortune !

Nous dormons dans un camping charmant en bord de rivière que nous avons pour nous tous seuls.

03/05 

Direction Cathedral Cove, nous parions au bluff sur une place pour Philibert au parking (minusucule),du départ du trek, sans succès. Nous nous garons ailleurs et ce sera 45 min de marche préliminaires à la balade. Très jolie plage avec son arche naturelle :

Nous nous rendons ensuite à Hot Water Beach. Un endroit magique puisqu’il suffit de creuser dans le sable pour se faire sa petite piscine d’eau chaude ! 10NZD la location d’une pelle, c’est pas donné, mais c’est quand même pratique !

La base (un peu de monde quand même ! )

Le gros-oeuvre

Le chef d’oeuvre !

La fin du voyage s’approchant, nous revenons vers Auckland pour passer la nuit sur le parking d’un pub irlandais, une Guinness pour se réconforter !

04/05

Traversée d’Auckland pour se rendre à Mangawhai beach. Fun fact, nous nous sommes faits contrôler par un barrage de police. Assez drôle de discuter de nos vacances avec le policier le temps de retrouver le permis de conduire français et international rangés à l’arrière du van, et séparément), le tout en tongs !

La plage est sympa, c’est un coin pour surfer, plutôt pour les confirmés vu les vagues ! C’est également une plage autorisée aux chiens (chose pas très commune en Nouvelle-Zélande), ce qui nous a valu des invités pour notre pique-nique sur les rochers !

Ensuite, visite de la Waipu Cave, une grotte gratuite et donc non aménagée. Pas de lumière, pas de chemins ! Equipés de nos frontales et d’une lampe de poche, nous nous lançons ! Dur de dire la distance parcourue (une petite centaine de mètres) mais nous crapahutons dans les rochers et découvrons des glowworms et quelques concrétions ! L’avantage de la grotte c’est qu’il n’y a personne ! Nous avons donc pu faire joujou avec l’appareil photo !

Nuit

Jour (nos têtes un peu en mode zombie)

Après cette belle découverte, nous rejoignons notre camp pour la nuit, à Trounson Kauri Park. Petit camping du DoC, adjacent à une forêt ou vivent des Kiwis (accessoirement on trouve aussi des Kauris, on en parlera un peu plus bas) !

Une boucle aménagée dans la forêt permet d’admirer les kauris, et d’essayer d’observer les kiwis. Ce qui est compliqué c’est que les Kiwis ont peur de la lumière (ils ne vivent que la nuit) donc pour les observer sans les faire fuir, il est recommandé d’utiliser une lampe rouge. Un sac de plastique de New World fera (plus ou moins) l’affaire pour nous ! Bon, sans tourner autour du pot, nous n’en avons pas vu ! Nous les avons bien entendus, un kiwi devait être à quelques mètres de nous mais nous n’avons pas réussi à l’observer ! Cette balade de nuit dans la forêt vaut quand même le coup, l’atmosphère est totalement différente ! Nous devinons à peine les arbres qui nous entourent, le clair de lune est brillant… Envoûtant.

05/05

Au réveil, nous retournons sur la même boucle, afin d’admirer les kauris, cette fois. La réserve naturelle de Trounson est décrite ici comme une île au milieu de la campagne, abritant encore de la forêt « primaire », comme elle l’était avant l’arrivée des hommes et surtout l’introduction de nombreuses essences non indigènes, et la déforestation sauvage.

Les Kauris sont des arbres à bois dur réputé imputrescible, qui poussent lentement, très lentement, et atteignent des dimensions incroyables : plus de trente mètres de haut, troncs de plus de dix mètres de circonférences… Rien à voir avec les arbres auxquels nous sommes habitués. Ces arbres poussent très lentement et peuvent vivre plus de mille ou même deux mille ans. Le plus gros de cette partie là du bois n’est pas, et de loin, le plus gros de NZ, et a déjà 1600 ans. Une dernière caractéristique : leurs racines nourricières sont très superficielles et peuvent être endommagées par le trafic à la surface (randonneurs, vélos). C’est pourquoi la plupart des endroits où l’on peut approcher ces arbres ont des pistes aménagées sous formes de trottoirs en bois surélevés.

Les Maoris n’utilisaient pas le métal et n’abattaient qu’exceptionnellement des kauris (quand on voit la bête, on n’imagine pas trop trop l’attaquer à coup de haches en pierre) mais les européens ont fait des ravages dans les bosquets de kauris pour alimenter l’industrie navale. Actuellement, on replante… mais il va s’écouler quelques années avant que les arbres replantés n’atteignent les dimensions de leurs ancêtres.

Une autre menace plane sur les kauris.  C’est une infection fongique, le dieback disease. Pour pénétrer dans les bosquets, il faut nettoyer puis désinfecter la semelle de ses chaussures, car le germe est en général transporté accidentellement dans les déplacements de sol.

Après cela, nous prenons la route du nord pour aller dans la forêt de Mataraua admirer d’autre kauris, plus anciens (et plus grands). (Re-re-re) désinfection des chaussures, et zou ! Nous avons donc pu admirer les quatre sœurs (qui semblent avoir une base commune) et le bosquet cathédrale. Mais ce sont encore de jeunes arbres. C’est en arrivant auprès de Yakas (oui, les plus gros kauris ont des noms) que nous avons pu mesurer l’immensité des arbres. La seule façon de les photographier, c’est un panorama ! Yakas est le septième plus gros kauri du Northland, et il mesure 43,9 m. Sa première branche est à 12m du sol, et sa circonférence est de 12,3 m (pour ceux qui se demandent, on mesure la circonférence à 1,4m du sol sur le coté de l’arbre qui est en haut de la pente le cas échéant) pour un diamètre de près de 3,8 m, soit environ deux fois et demi notre taille (un peu moins pour Minh) ! Nous avons eu la chance de pouvoir toucher son écorce. Impressionnant de se dire que cet arbre a vécu plus longtemps avant l’arrivée des humains en NZ qu’après… et peut-être même commencé à pousser avant JC !

Différence Yakas / MC

Nous avons ensuite admiré Te Matua Ngahere, le père de la forêt en Maori. Il est d’aspect plus trapu que Yakas, car la cîme est tombée il y a quelques années, mais il est bien vivant. Sa circonférence est  de 16,4 m, pour une hauteur totale de 29,9 m et une première branche à 10m. D’ailleurs, il est intéressant d’observer que tout un écosystème de mousses et de lianes se développe dans les branches des plus anciens kauris !

Te Matua Ngahere (2e plus gros arbre de NZ)

Nous prenons ensuite le chemin de Dargaville, pour une expérience tout à fait différente. En effet, nous avons emmené Philibert à la plage ! A Dargaville se trouve Baylys beach, une plage d’environ 100 km de long (difficile de se représenter cela !) dont le sable a marée basse est assez ferme pour permettre la conduite automobile ! Justement, nous y étions à marée basse ! Nous avons un peu hésité à nous y risquer, mais en voyant un tracteur rouler sans enfoncer, et en réalisant que tous les véhicules de la plage n’étaient pas des 4×4, nous nous sommes lancés pour quelques centaines de mètres, le temps d’un selfie-libert et de profiter de l’ambiance sur la plage, assez différente de ce que nous avons en tête en pensant « plage » : pêcheurs (du dimanche ?) avec leurs 4×4 et leur matériel, jeunes du coin (et moins jeunes) en train de faire des demi-tours au frein à main, famille avec enfants en plein pique nique sortant les victuailles directement de leur coffre… et Philibert ! Vue la taille de la plage, on n’est pas gênés par le monde quand même !

Le soir venant, nous prenons la route du sud pour se rapprocher d’Auckland et nous garons pour notre dernière soirée en van ! Pour l’occasion, c’est un camping très récent et propre comme un sou neuf que nous choisissons, près de Muriwai Beach que nous prévoyons de visiter le lendemain. Nous sommes assez fiers d’avoir visé juste pour nos menus de la semaine, il nous reste juste de quoi faire un repas et un petit déjeuner, et les inévitables restes de café, muesli, huile, vinaigre et cornichons.

06/05

Au matin, nous nous réveillons sous une pluie battante, mais qui ne dure pas et nous permet de visiter la plage attenante. Elle est particulière pour deux raisons : elle abrite une colonie de fous de Bassan, que nous allons observer (mais leur migration ayant débuté, ils n’y en a plus beaucoup ! Ils sont très jolis à observer ceci dit) et surtout il s’agit d’une plage de sable noir, d’origine volcanique (le sable blanc est lié à l’usure des coraux notamment). C’est très étonnant, et très joli !

Pendant la pluie

Après la pluie, et avec les oiseaux

Puis nous faisons le ménage de Philibert à fond, et sur un fish-and-chips aussi gras que mérité, nous prenons le chemin du retour !

C’est avec émotion que nous restituons Philibert à ses congénères, non sans nous être munis d’une petite voiture de location pour assurer nos quelques trajets des jours à venir.

Lâcher de Philibert dans son espace naturel

Rien à signaler de particulier au moment de la restitution, même l’enjoliveur avant gauche un peu redécoré par MC est bien passé… Mais nous avons oublié le contenu d’un placard ! Adieu café vietnamien, thé, moutarde, cornichons et reste de Muesli que nous aurions sinon abandonné chez Pauline et David 😀

Le soir même, après une balade dans les environs de Waterview, nous nous régalons tous les quatre d’un barbecue et d’une bonne bouteille à l’occasion des 29 ans de MC. Pauline a même prévu le gâteau et les bougies, surprise fort appréciée ! (Big up !) Le gâteau virtuel (surtout virtuel pour MC) des Ploton du Perreon a été apprécié aussi, un peu plus tard dans la nuit, décalage horaire oblige.

07/05

La matinée est consacrée à des formalités administratives inévitables (déclaration d’impôts !) et nous pique niquons à midi sur Whatipu beach, une plage de sable noir très sauvage, isolée au bout d’une péninsule, entourée de dunes… un bel endroit, quoiqu’un peu venté !

Le soir, comme c’est lundi, Pauline et MC réalisent un projet qui leur trotte dans la tête depuis quelques mois : se taper dessus ! En effet, c’est soir de taekwondo, et elles ont enfin pu s’affronter en combat. Les trois taekwondoistes rentrent un peu cassés à la maison, surtout David et Pauline car les autres membres du club ont été plus sympa avec MC… mais elle a été très vite rattrapée par les courbatures !

Dernière nuit en Nouvelle-Zélande ! C’est passé vite ! Prochaine courte étape, Kuala Lumpur puis Bali !

Catégories : Récit du voyage

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